Dans ce contexte, l’introduction à Mayotte de plantes et d’épices, d’abord pour la consommation, puis, par la suite, pour la production, était une aubaine pour l’île.
Vers la fin du dix-neuvième siècle, Mayotte, alors colonie française, privilégiait la culture et la production du girofle, de la cannelle, du gingembre, et de la canne à sucre, puis des huiles essentielles de l’ylang-ylang, du coprah, et de la vanille.
Pour la petite histoire, Mayotte fournissait, pendant cette période, jusqu’à 4% du rhum, à base de canne à sucre, produit sur les territoires français d’outre-mer.